dimanche, avril 09, 2006

Paris-Roubaix, l'enfer du Nord.

L’enfer du nord pour les coureurs mais surtout pour le téléspectateur moyen qui va devoir rester scotché devant son écran toute la journée, attendant la chute des cyclistes. Coup d’arrêt pour les travaux, j’en ai peur.
Les pavés sont relookés paraît-il mais le pire pour les journalistes serait qu’il ne pleuve pas. Je suis de la génération qui vibrait devant la TSF aux exploits de Fausto Coppi, Bartali, Bahamontès, " l’aigle de Tolède ", Louison Bobet. On ne parlait pas encore d’E.P.O. mais depuis on a appris que le dopage était déjà et depuis toujours présent. Qu’importe, ces rois-là de la " petite reine " nous emmenaient sur des sommets du dépassement de soi jamais égalé avec leurs vélos qui tenaient plus de la bécane que du lenticulaire. Tout ça pour dire que pour moi, ce sera pinceaux plutôt que vélo.
La machine Bricol-man s’est mise en route, le plâtre a la bonne consistance, le coup de truelle est sûr et l’humeur coopérative. Le salon semble dévasté, orphelin de ses bibelots, les tableaux entreposés dans la chambre des petits, sauf le portrait de " Fille-Unique " (car unique elle l’est à tous points de vue), l’ami ordi est encore à sa place, les sacs poubelles sont préparés pour l’enfermer au moment tant redouté du ponçage, je ne suis pourtant pas une maniaque de la poussière, mais ça, j’ai du mal à supporter.

Quand Max de Tacuma rencontre Bricol-girl.

Episode 3.

Touchée par ce que Max me raconte concernant Georgette, dans un élan de générosité je décide de prendre les frais de port à ma charge. C’est alors que commence pour Max la quête de 10 euros, (le prix du livre) dans toutes les banques de Tacuma, à la 10 ème enfin sa persévérance est récompensée.
La suite demain.